• Chp XII: Gretchen

    Après l'appel de Jess, je cours vers la forêt quand l'homme aux yeux noirs profonds m'arrête! Stephen me dit de "contiuer à courir"  et qu'il est capable de le retenir. John apparût devant moi avec Stephen, sur ces gardes derrière. Je frappe John mais pas de façon feminine où une claque est apparement plus efficase dans la mentalité d'une femme sans force, un des nombreux points qui sépare les hommes des femmes. Il se remit debout et ajoute:

      -Il faut que je te parle.

      -Je n'ai pas le temps et depuis quand, tu me tutoies?

    Il ne répond pas à ma question et passe directement à un autre sujet.

      -Ce n'est pas, qui a dénoncé et capturé tes amis. Pour te le prouver, je vais vous aider.

      -Le moment est très mal choisis pour en parler. Jess a besoin de moi. Allons y!

      -D'accord!

      -Tu ne le connais pas, s'esclaffa Stephen.

      -On ne peut pas perdre de temps et encore moins pour des enfantillages.

      -Bien.

    On se dirige vers la rivière avec à ma droite Stephen et à ma gauche notre invité. John me demande:

      -Où va-t-on?

      -A la rivière, Jess nous y attend.

    Je ne vois pas le point commun entre Zane et Tally, à part, qu'ils sont tous les 2 des lycantrophes. Lorsque nous arrivons, je sens une tension dégagée entre les 2 hommes, Stephen et John. Ils ne s'aiment pas du tout, à aucun moment, ils ne seront amis, puis sans m'en rendre compte, mes yeux ne peuvent pas de détacher du regard noir qui me hante. Alors, pour détendre l'ambiance je demande à John:

      -Tu dois être puissant pour avoir six siècles alors, pourquoi n'es-tu pas maître de ta propre ville?

      -Le pouvoir ne m'interesse pas.

    Au même moment, je vois Grégory et Jess. Bien évidement, comme je m'y attends, Grégory ne peut s'empêcher de faire une réflexion.

      -Génial des morts!

      -Ecoute, je suis pas là pour jouer. Tu veux qu'on t'aide à sauver Tally, oui ou non?

      -...Oui.

      -Bien.

    Nous partons donc à cinq, pour aller à la recherche de Tally et Zane. Puis John, nous avoue qu'il s'est fais kidnapper pendant des mois et qu'il faut qu'on commence par cette maison. Nous nous mettons en route pour de nouvelle aventure. Quelle ironie!


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  • chp XI: Jess

    Je me réveille après que Zane fasse du bruit. Il me dit de me depêcher qu'ils sont là. Comment savent-ils que Zane est ici? C'est impossible! On s'enfuit par la fenêtre, Zane me suit et on se dirige vers la "maison abandonnée". Avec les filles, c'est à cet endroit qu'on sait rencontrés. Biensur, pour aller là-bas, il faut traverser la forêt. Nos poursuivants sont coriaces, Zane me prend le bras et m'emmène dans les buissons et pose sa main sur ma bouche pour me faire comprendre de me taire! Nos ennemis avancent sans qu'ils sachent qu'on est arrêtés. Nous reprenons la route et arrivons à l'endroit voulu. Zane me lance:

      -On dirait une maison hantée!

      -Oui, c'est vrai! Mais c'est pas un grand gaillard, comme toi, qui va avoir peur d'une pauvre maison.

      -Tu te fous de moi...

    Il me prend dans ses bras et me fait tourner sur lui même. Nous rigolions jusqu'au moment où des voix, nous demandent de nous arrêter. Zane me pousse par la fenêtre et me crie "pars et te retourne pas, ils te prennent pour ma complice". Je me retourne et court vers la forêt pour trouver de l'aide. Quand mon téléphone sonne:

      -Jess, c'est Grégory. J'ai besoin de toi, Tally a disparu.

      -...

      -Jess?

      -...

    Je continue de pleurer sans pouvoir m'arrêter et dis en sanglotant:

      -Rejoinds moi à la rivière.

      -D'accord!

    Je raccroche et compose la numéro de Gretchen, en espérant qu'elle soit réveiller. Elle décroche:

      -Jess sa tombe bien, il faut qu'on se parle.

      -Gretchen...ils les ont emmenés.

      -Qui?

      -Zane et Tally, ces sa*****, les ont kidnappés.

      -Calme toi, où es tu?

      -Viens à la rivière dans la forêt.

      -J'arrive, attends moi, ne fais pas de bêtises!

      -Oui mais, depêche toi.

    Elle racroche et je cours jusqu'a la rivière. Grégory est déjà là. Il me décrit les circonstances de la disparition de Tally et je fais de même pour Zane.

      -Je suis désolé, Jess.

      -Pareil pour moi, c'est sans doute à cause de moi.

      -Ne dis pas ça! C'est pas de ta faute!

      -Merci mais je suis pas convaincu.

      -On attend quoi?

      -Tu vas pas aimé mais j'ai appelé Gretchen.

    Grégory déteste les vampires, ses parents sont morts à cause d'eux.  Je le calme durant 10 minutes, quand Gretchen arrive avec un mystérieux homme.

     


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  • Chp X: Tally

    Aujourd'hui, je retrouve Grégory pour faire du shopping. Il déteste mais moi, j'aime me détendre et passer des bons moments avec lui. Lorsque je le vois, je fonce sur lui et l'embrasse. Il porte un bermuda rouge et un tee-shirt blanc sans manches qui laisse entrevoir sa musuculature. Il a attaché ses chveux blonds dans le dos, qui mets son visage en valeur. Puis nous nous dirigeons vers les petites boutiques du centre ville. On passe de magasin en magasin, d'achats en achats et de marche en marche. Je crois que Grégory commence à être fatigué de m'attendre mais il ne laisse rien paraître, c'est un gentleman! Puis il me prit la main et je me laisse guidée par lui. Il s'assit suur les bancs publiques, je fais pareille et  il se pronomce:

      -Attends un peu, je suis crevé. Comment fais tu pour faire autant d'heures de shopping?

      -Je ne sais pas. Comme j'aime pas ma belle mère, sa me permet de ne pas être à la maison.

      -Je suis quand même, imprésionné.

      -Tu devrais pas, ajoute-je avec un clin d'oeil.

      -Reste là, deux minutes! je vais chercher quelque chose.

    J'excute et attends pendant un moment mais toujours personne. Je me lève et vis une fillette bléssée. Je l'appelle mais elle s'enfuit alors je la rattrape. J'ai fais quatre kilomètres en courant, sachant qu'une petite fille bléssée ne peut pas courir autant et alors je comprends que je me suis faites piégée. On est dans la campagne, aucune voiture, ni même bruit se fait entendre. Puis je me sens lourde, fétiguée et m'évanouis, en pensant, que je suis trop naive. Au bout d'un temps, je me réveille et vois une femme, qui dit:

      -Bien dormis, apparement, oui, car c'est déjà la nuit.

      -Qui êtes vous?

      -Tout le monde et personne!

      -Comment ça?

      -Ma jeune enfant, j'ai été tellement de personne qui dire, mon nom d'origine ne me servira à rien.

      -Que voulez-vous?

      -T'exécuter sans aucun remort d'avoir tuer un monstre de la nature.

      -...

      -C'est moi, qui ai responsable des noms parrus dans les journaux.

      -A quoi, sa peut vous servir?

      -Le monde sera bien mieux sans bêtes de foires. Tu ne trouves pas?

      -Donc, si je comprends, vous êtes humaine?

      -Hum! Pas tout à fait!

      -Maintenant, rendors toi, tu m'agaces avec toutes tes questions.

    Je regarde la femme prendre une seringue, planta l'aiguille dans ma peau et peu à peu je m'évanouis contre ma consience.


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  • Chp IX: Gretchen

    Arrivé au manoir, une voiture noir est garée à ma place. Je me dirige vers la porte d'entré, après avoir trouver une place de parking, j'ouvre ensuite, la second porte du salon. Tous les vampires d'ici vivent chez Asher pour des raisons de sécuritées. Je n'apperçu personne, puis je vois un homme tout seul sur le canapé, brun et peut être 1m85, difficile de voir lorsque la personne est assise. Je m'approche et demande:

      -Qui êtes-vous?

      -Bonsoir, je m'appelle John.

      -Que faites vous là?

     La lumière s'allume révélant, la couleur de ses yeux. Ils sont noirs et profond, je suis sûr que certains le compare au néant.

      -Je l'ai appelé, Gretchen, dit Asher.

      -Ah! Je vois, je suis navrée.

    L'invité me répond:

      -Excuse acceptée!

      -C'est pas à vous que je m'adressais mais à mon maître.

      -Je suis attristé, mademoiselle.

      -Avez-vous finis, peut on commencer? Gronde Asher.

      -Bien sûr!

      -Mais certainement mon chère ami, prononce John.

      -Alors assiez-vous, déclare Asher!

     Je m'assis à côté d'Asher et John est toujours dans le canapé d'n face. Quelque chose me dit, qu'il fallait mieux que je me taise.

      -John, je t'es appelé car j'ai eu vent d'une rumeur.

      -Laquelle, chère ami?

      -Il se peut que tu es à l'origine du conflit dans le rocke d'ici. On dit que des noms ont été livrés aux journaux et que à la suite, des loups-garous ont été obliger de quitter la ville, pour leurs survis façe au humains.

      -En quoi, sa me concerne?

      -Tu en serrais le responsable de ce carnage!

      -Je vois... Quelles preuves as tu?

      -Je te l'ai dis, ce n'est que des rumeurs.

      -Bien entendu. Qu'attends tu de moi?

      -Que tu te dénonce à la meute, si tu es coupable!

      -Non!

      -Ce n'étais pas une question.

      -Jamais, je vais pas me dénoncer pour un crime que je n'ai pas commis.

    Puis, il disparut. Asher me regarde et ajoute:

      -Tu as une amie louve, nan?

      -Oui, pourquoi?

      -Explique lui, la situation, puis elle en parlera à son chef de meute.

      -D'accord mais comment a-t-il fais ça?

      -C'est son don, il est capable de se téléporter.

      -Ah! Je le trouve bien arrogant votre ami.

      -Si on peut le considerer comme tel.

      -Je l'avoue.

      -Bien va la prévenir mais attends la pochaine nuit.

      -Très bien, je vais aller me coucher.

    Je sortis de la pièce, me change dans ma chambre en m'habillant d'une nuisette noir, me glisse dans mes draps satin de couleur rouge et je me fais attraper par la mort.


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  • Chp VIII: Jess

    Je rentre dans ma chambre, mais resortis directement, après ce que je viens de voir. Mes parents arrivent et me demandent "pourquoi, je fais un tel boucan". Je leurs déclare qu'il y a des courants d'aires et je rentre en leurs disant bonne nuit. Zane tourne la tête vers moi et je rougis. Il me réclame:

      -Qu'est ce que tu as? C'est que je suis nu, mais pourtant, après une transformation, tu sais que l'on n'est pas habiller.

      -C'est pas une raison! Tout le monde s'habille après, personne ne se balade dévêtis!

      -Ah! Tu en pense quoi, de mon histoire?

      -Quel histoire?

      -De ma fuite.

      -Oui, bin....Je te crois mais tu vas pas restez là, tu pourrais te faire avoir et moi, je gagnerais des problèmes.

      -Tu me suggère quoi?

      -De dormir! On verra demain!

      -Bon alors au dodo!

      -Non, je vais dormir par terre.

      -Pourquoi, osa t-il me dire? Ah, si je sais, tu n'as jamais dormis avec un homme nu.

      -Non, alors mets un quelque chose.

     Je me retroune et le voit avec un de mes shorts.

      -Bon, ça va! je vais me changer.

      -OK!

    Après, m'avoire mise en pyjamin, je sors de la salle de bain et j'observe que Zane dort déjà. Je prise place à côté de lui, j'e n'arrive pas à dormir et le sommeil me frappe.

    Je commence à bouger et ouvre les yeux. Je vois Zane m'observer, il est posé sur son bras gauche avec sa tête dessus. Ses cheveux longs sont tous sur la même épaule, pour pas le gêner, ses yeux verts et fatigués sont fixés sur moi et il prononce:

      -Bonjour, bien dormis ma belle?

      -Oui, merci et toi?

      -Super bien, c'est pas tous les jours, qu'une belle fille dort à côté de moi.

      -Ah, nan, pas belle.

      -Madame est très modeste.

    Je me suis mise à rire si fort, que mon ventre se crispe. Zane me demande, s'il peut prendre une douche alors je fais un signe de la tête. Pendant ce temps, je m'habille, jean's, tee-shirt blanc et nikes noirs. Puis, je me dirige vers le placard de mon père, prends des vêtements pour Zane et lui apporte. Il me remercie et me popose:

      -Alors on fait quoi, pour moi?

      -Je ne sais pas, prenons le temps d'y réfléchir.

    J'allume la télévision et Zane s'allonge à côté de moi. Il y a un film de comédie mais je n'y prête pas vraiment attention, j'entends Zane rire alors mon regard fixe l'appareil et je l'accompagne dans un fous rire. A cause du sons qui sort de sa bouche, mon coeur bat de plus en plus fort et mes mains sont en sueurs. Zane me sent dans tous mes états. Il prend appuie sur ses mains et vient à la rencontre de mes lèvres. Je ne sais plus quoi faire, alors je le laisse m'embrasser. Il me prend par la taille, me soulève, passe ses mains dans mon dos et m'allonge sur lui. Puis tout s'enchaîne, il y a plus aucun moment de libre et les souffles se mêlent à nos deux coeurs battants la chamade. On finit par s'endormir, comme vide d'énergie. Je reste là, à dormir dans ses bras et ne comptant plus les heures.


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